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Malgré l'aspect terrible que prend la mort des yomank qui fanent en quelque jours, provoquant de grandes souffrances à la fois physiques et morales, celles-ci ne considèrent pas la mort comme un créature monstrueuse dont il faut avoir peur. La mort est pour elles une divinité qui fait parie de la vie, qui peut certes être affreuse mais qui n'est qu'un passage vers autre chose. Nai est donc une sorte de passeuse de leur monde vers un autre.
 
Malgré l'aspect terrible que prend la mort des yomank qui fanent en quelque jours, provoquant de grandes souffrances à la fois physiques et morales, celles-ci ne considèrent pas la mort comme un créature monstrueuse dont il faut avoir peur. La mort est pour elles une divinité qui fait parie de la vie, qui peut certes être affreuse mais qui n'est qu'un passage vers autre chose. Nai est donc une sorte de passeuse de leur monde vers un autre.
   
 
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Les souffrances de la mort naturelle sont sans doute la raison pour laquelle les yomank ne rechignent pas à se battre. Mourir transpercée par une flèche ou d'un coup de dague est sans doute moins douloureux et plus instantané que d'attendre le moment de leur mort végétale. Chez les [[shank]], mourir pendant une partie de chasse est un honneur et il est à supposer qu'il en était ainsi pour toutes les yomank aux temps où elles ne formaient qu'un seul peuple.
   
 
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Version du 10 novembre 2020 à 07:38

La mort

Malgré l'aspect terrible que prend la mort des yomank qui fanent en quelque jours, provoquant de grandes souffrances à la fois physiques et morales, celles-ci ne considèrent pas la mort comme un créature monstrueuse dont il faut avoir peur. La mort est pour elles une divinité qui fait parie de la vie, qui peut certes être affreuse mais qui n'est qu'un passage vers autre chose. Nai est donc une sorte de passeuse de leur monde vers un autre.

Les souffrances de la mort naturelle sont sans doute la raison pour laquelle les yomank ne rechignent pas à se battre. Mourir transpercée par une flèche ou d'un coup de dague est sans doute moins douloureux et plus instantané que d'attendre le moment de leur mort végétale. Chez les shank, mourir pendant une partie de chasse est un honneur et il est à supposer qu'il en était ainsi pour toutes les yomank aux temps où elles ne formaient qu'un seul peuple.


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