Le soi et l'environnement : Différence entre versions

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On comprend ainsi qu'en détruisant la planète, l'humanité se détruit elle-même. C'est la mal absolu, celui qui cherche par tout le moyen à éliminer toute choses de ce monde, l'entropie suprême.
 
On comprend ainsi qu'en détruisant la planète, l'humanité se détruit elle-même. C'est la mal absolu, celui qui cherche par tout le moyen à éliminer toute choses de ce monde, l'entropie suprême.
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Mots-clés : Environnement, philosophie, bouddhisme, écologie, Gaïa, humanité
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Version actuelle en date du 12 février 2024 à 06:45

L'humanité est un organe de la planète. Chaque être humain en est un élément constituant. Les humains ne sont pas débarqués d'une autre planète, ils sont apparus dessus comme l'herbe pousse sur une terre fertile et humide et font partie de se monde tout les montagnes, les rivières, les océan, la faune et la flore. La Terre, Gaïa, est un organisme vivant dont l'humanité est un organe.

C'est ainsi que j'interprète le grand principe bouddhique fondamentale de non dualité soi/environnement, soi/les autres, esprit/matière.

On comprend ainsi qu'en détruisant la planète, l'humanité se détruit elle-même. C'est la mal absolu, celui qui cherche par tout le moyen à éliminer toute choses de ce monde, l'entropie suprême.



Mots-clés : Environnement, philosophie, bouddhisme, écologie, Gaïa, humanité


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