Complexité (la) : Différence entre versions

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Notes prises au sujet d'un travail sur le chaos en musique :
   
 
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La complexité deviendrait parfois si obscure qu'elle donne le sentiment d'être chaotique. Mais, au début du monde était le vide, pas le chaos. Le chaos, c'est la fin du monde. Le début du monde est la loi, la fin est son œuvre.
 
La complexité deviendrait parfois si obscure qu'elle donne le sentiment d'être chaotique. Mais, au début du monde était le vide, pas le chaos. Le chaos, c'est la fin du monde. Le début du monde est la loi, la fin est son œuvre.
   
La complexité est engendrée par le rapport entre le son original et la fréquence de ses répétition. Si cette fréquence est un multiple entier de la longueur d'onde du son original, alors on obtient une complexité relative donnant un sentiment d'harmonie (une rythmique stable) car on a affaire à une complexité simple (ou une simplicité d'une complexité à un 1 degré). Mais si ce rapport est basé sur un nombre premier alors cela engendre du chaos, du bruit.
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La complexité est engendrée par le rapport entre le son original et la fréquence de ses répétitions. Si cette fréquence est un multiple entier de la longueur d'onde du son original, alors on obtient une complexité relative donnant un sentiment d'harmonie (une rythmique stable) car on a affaire à une complexité simple (ou une simplicité d'une complexité à un 1 degré). Mais si ce rapport est basé sur un nombre premier alors cela engendre du chaos, du bruit.
   
 
Mais faut-il parlé de chaos ? Ne s'agit-il pas plutôt d'un niveau de complexité extrême ?
 
Mais faut-il parlé de chaos ? Ne s'agit-il pas plutôt d'un niveau de complexité extrême ?

Version actuelle en date du 10 juin 2023 à 12:17

Notes prises au sujet d'un travail sur le chaos en musique :

(Hypothèse basée sur l'observation.)

Si on admet que l'univers est basé sur une loi unique (bouddhisme) ou sur une équation ultime (astrophysique) alors on est obligé d'admettre que le chaos n'existe pas car "au commencement est la Loi" – si l'on admet qu'il y ait un commencement.

La loi engendre la complexité et celle-ci se révèle au fil de l'évolution générale.

La complexité deviendrait parfois si obscure qu'elle donne le sentiment d'être chaotique. Mais, au début du monde était le vide, pas le chaos. Le chaos, c'est la fin du monde. Le début du monde est la loi, la fin est son œuvre.

La complexité est engendrée par le rapport entre le son original et la fréquence de ses répétitions. Si cette fréquence est un multiple entier de la longueur d'onde du son original, alors on obtient une complexité relative donnant un sentiment d'harmonie (une rythmique stable) car on a affaire à une complexité simple (ou une simplicité d'une complexité à un 1 degré). Mais si ce rapport est basé sur un nombre premier alors cela engendre du chaos, du bruit.

Mais faut-il parlé de chaos ? Ne s'agit-il pas plutôt d'un niveau de complexité extrême ?

Quelque part entre l'origine et le chaos total (ou la complexité absolue), il y a la création, la vie, l'aventure. L'humain se situe exactement là.

Une autre hypothèse : Le chaos pourrait être de la complexité qui s'est égarée. La loi pourrait parfois générer des branches pourries. Ce serait dommage pour celles-ci. La Loi est-elle injuste ? Je ne crois pas du tout en cette hypothèse.

La complexité est faite d'éléments simples qui, en se combinant dans tous les possibles, nous masquent la réalité du monde et nous brouillent les cartes. Mais ce n’est pas parce que la causalité nous échappe qu’il n’y a pas d’ordre.

Mes musiques liées à ce thème



Mots-clés : complexité, chaos, causalité


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